"Cette semaine, pas d’article, mais quelques mots, sûrement pompeux à l’heure des grands discours, mais prenons-les pour ce qu’ils sont : de simples mots, qui n’auront donc que la portée que l’on voudra bien leur prêter.
De tous temps, certains n’ont eu que deux rêves : être respectés ou être craints.
Qu’importe que ce soit l’un ou l’autre, pourvu que leur ombre porte. S’il est pourtant une chose qu’ils ont toujours eu en horreur, c’est d’être moqués.
D’autres, bien avant aujourd’hui, l’avaient compris : Le Dictateur de Charlie Chaplin n’appelle pas à craindre un ennemi, ou à le respecter. Il le tourne en ridicule car c’est bien là ce qu’il y a de mieux à faire : quelle légion voudrait se ranger sous une bannière qui n’attire que le rire et l’irrespect d’autrui ?
Qu’importe que ce soit l’un ou l’autre, pourvu que leur ombre porte. S’il est pourtant une chose qu’ils ont toujours eu en horreur, c’est d’être moqués.
D’autres, bien avant aujourd’hui, l’avaient compris : Le Dictateur de Charlie Chaplin n’appelle pas à craindre un ennemi, ou à le respecter. Il le tourne en ridicule car c’est bien là ce qu’il y a de mieux à faire : quelle légion voudrait se ranger sous une bannière qui n’attire que le rire et l’irrespect d’autrui ?
Il faut rire du guerrier qui pense trouver la gloire en s’attaquent à des gens désarmés.
Rire de celui qui pense inspirer la crainte en abattant courageusement un homme à terre. Oui, de tout cela, il faudra rire.
Rire de celui qui pense inspirer la crainte en abattant courageusement un homme à terre. Oui, de tout cela, il faudra rire.
Et ce ne sera pas marque d’irrespect pour les morts, mais bien le contraire.
Mais d’ici là, laissons quelques jours. Et on se retrouve bientôt pour cela justement : rire.
Ou essayer ; après tout, faire rire quelqu’un est autrement plus difficile que de l’abattre.
On a le courage de ses actes."
Salut ami lecteur,
La prose au dessus n'est pas de moi, mais de l'Odieux Connard, et je suis tellement atterré par les évènements ce soir, que je n'ai rien su faire d'autre que de voler les mots d'un autre.
A plus,
P.
Salut ami lecteur,
La prose au dessus n'est pas de moi, mais de l'Odieux Connard, et je suis tellement atterré par les évènements ce soir, que je n'ai rien su faire d'autre que de voler les mots d'un autre.
A plus,
P.
Je suis Charlie.
RépondreSupprimerJe suis Charlie
RépondreSupprimerPas mieux...
RépondreSupprimerTu avais commenté à propos de Dorothe, la prose de Corbier ci dessous devrait te plaire.
https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=10204224017975624&substory_index=0&id=1082650152
En effet !
RépondreSupprimerLe com' FB sur Dorothée n'était pas de moi, mais d'une des très rares personnes qui a cet humour si particulier, et qui m'a déclaré ne pouvoir le faire qu'à moi.
Humour que je me suis empressé de relayer via mon profil FB, car pour moi, tout est bon pour rire. Même le pire.
Pour Morikun qui n'a pas FB, voici le com' en question.
"Après Framboisier, c'est Cabu qui est mort. Bad week pour Dorothée !"
De plus, ça avait une saveur particulière, car j'ai cuisiné pendant deux ans et demi chez ABTV, productrice des couenneries de Dorothée qui ont remplies mes après midi.
J'espère que mes quelques contacts FB de ABTV ne l'ont pas trop mal pris.
Je ne pense pas, car je les avais habitué à mon humour destroy.
En tout cas, une bien triste histoire.
Les deux connards sont, à l'heure qu'il est, toujours traqués, et j'espère sincèrement qu'ils se feront prendre vivants, histoire qu'ils prennent perpèt', et profitent bien de leur peine.
Je n'espère qu'une chose, qu'ils soient chopés vivants et finissent en taule à devenir les petites chiennes dociles des "locataires". Ca leur briserait bien le moral.
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